Selon Terry, quel prix faut-il payer pour un bon vin?

Tous les bons conseillers vous diront que vous n’avez pas besoin de payer très cher pour boire un bon vin, Terry le premier. Il faut aussi s’entendre sur ce qui fait que le vin est bon. Un bon vin, c’est tout, sauf un prix.

Le vin est particulièrement bon lorsqu’on le boit avec l’amour de sa vie, avec des amis ou lors d’une occasion spéciale. Un vin de pays bu à la terrasse du bistro d’un village de Camargue ou de Sicile sera toujours mémorable puisqu’il goutera toujours le soleil de là-bas.

À la SAQ (Société des Alcools du Québec), les conseillers trouveront facilement un très bon vin qui s’harmonisera parfaitement avec votre repas pour le prix que vous voulez payer.

Mais si une occasion spéciale se présente et que votre budget vous permet de pousser l’expérience un peu plus loin, les vignobles américains offrent d’excellents vins à 35 $ comme un Robert Mondavi Private Selection 2016 ou un Artesa Pinot noir Los Carneros 2015 à 36,25 $.

À l’autre bout du spectre des prix, vous trouverez d’excellents vins français à 75 $ la bouteille. Si les vins américains sont délicieux, les français ajoutent l’histoire et le terroir raffinant non seulement la subtilité de leurs arômes, mais aussi le prestige que leur réputation leur confère.

Ainsi, si votre budget le permet, vous pourrez offrir à vos convives un Segla Margaux 2009 à 73,25 $, un Château Faugers Saint-Émilion Grand Cru 2015 à 78,75 $ ou un Château Rollan de By 2015 à 79,00 $.

« Peu importe le prix, le vin est divin lorsqu’il est bu en compagnie de celles et de ceux que nous aimons et qui nous aiment. Sans amour et sans amitié, le vin ne sera que vinaigre, peu importe le prix que vous l’aurez payé », affirme Terry en levant son verre dans la lumière du soleil d’une journée radieuse.

YouTube player

Entrepreneur and prominent figure in Montreal's real estate and manufacturing sectors, Terry Pomerantz approaches every aspect of life with heart and character. At the helm of Domfoam and T.R.A.M.S Property Management, he carries on his late father's legacy while dedicating his philanthropic commitment to the Pomerantz Foundation, which has been actively supporting children's causes since 1991.